vendredi 27 novembre 2015

Francs-maçons et agents anglais déguisés en savants musulmans : Jamal Al-Dîn Al-Afghani le chiite et Mohamed Abduh le maçon

Ne pouvant vaincre l’Islam par la guerre, les Francs-maçons qui avaient déjà pris totalement le contrôle des pays européens (donc la Grande Bretagne et la France) vers la fin du 19ème siècle ont rapidement compris que la seule solution était de détruire les fondements même de l’Islam de l’intérieur. Il y a beaucoup d’exemples en cela dont particulièrement celui de Mustafa Kemal Atatürk, le dictateur crypto-juif et dönmeh sabbatéen qui de ses mains a détruit le Sultanat Ottoman et le Califat tout agissant contre l’Islam tel l’ennemi juré qu’il était.

Parmi ces sombres manœuvres, il y a eu aussi la tentative de réformer l’Islam par le biais de pseudos savants qui étaient en réalité des agents anglais. Jamal Al-Dîn Al-Afghani et Mohamed Abduh font parti de ces nombreux virus de l’Islam qui ont réussi a se donner l’image de savant de l’Islam et ainsi à influencer de nombreux pays et peuples sur leurs relations avec la religion musulmane. Nous verrons ici que leurs histoires officielles qui peuvent paraître sur leurs pages Wikipedia sont bien loin de la réalité et que systématiquement ces personnages ont eu des comportements douteux qui sont bien éloignés de ceux que doivent avoir de vrais savants de la Sunna. 

jeudi 12 novembre 2015

L’histoire de « Şalcı Bacı », la dame qu’Atatürk a fait pendre pour opposition à sa réforme du chapeau

Il est étonnant de voir comment Atatürk, le dictateur sabbatéen et crypto-juif, est présenté comme quelqu’un qui était soucieux des femmes et comme un « libérateur » qui a leur donné des droits qu’elles avaient (supposément) pas avant. On nous ressasse sans arrêt le droit de vote qu’il leur a accordé sans préciser au passage qu’à ce moment, il y avait que le parti d’Atatürk (le CHP) et que toute opposition était interdite. De même, il a à un moment donné, formulé une phrase (parmi beaucoup d’autres) que ses adorateurs reprennent pour démontrer sa supposée « grandeur ». 
Hé, l’héroïne femme turque ! Tu es digne d’être élevée sur les épaules vers les cieux et non à être trainée au sol. 
Quelle grandeur d’âme n’est ce pas ? Mais en même temps ce même Atatürk avait aussi transformé le palais présidentiel en bordel et y faisait venir de jeunes filles de toute la Turquie pour en profiter et les éloigner en Europe comme des malpropres une fois qu’il avait fini ses sales besognes pour passer aux prochaines. 

Mais ce n’est pas tout. Le pire est qu’il a même mené des femmes à la potence (parmi des milliers d’hommes) pour installer définitivement par la terreur ses réformes occidentales comme le port du chapeau. La première à avoir subit le courroux du dictateur Mustafa Kemal a été une dame qu’on appelait Şalcı Bacı à Erzurum. Une vieille dame occupée à gagner quelques sous en vendant des bouts de tissus et foulards aux habitants. Son crime ? Elle a critiqué la loi obligeant le port du chapeau anglais contre l’abandon du fez désormais interdit. Voici le récit (par un journaliste en 2008) de cette victime du kémalisme qui a subit les méthodes dictatoriales d'Atatürk que certains considèrent encore aujourd’hui comme une lumière. 

mardi 10 novembre 2015

Atatürk est un dönmeh juif : c'est ce qu'affirme un journaliste juif du The New York Sun

Le 24 Juillet 2007, Hillel Halkin éditeur de The New York Sun a écrit un article portant d’étranges affirmations. Deux jours après la victoire de l’AKP lors d’élections législatives, Halkin reprenait un article qu’il avait écrit 13 années avant avec des précisions qui lui étaient parvenues. Selon l’autobiographie d’un journaliste qui s’appelait Ben-Avi, Atatürk était dönmeh juif. Lors de la publication de son article, Halkin qui était inquiet des conséquences que pourraient porter sur la société turque de pareilles affirmations a donc relaté ces écrits en association avec un email reçu en 2007 qui apportaient d’autres preuves. Voici son article de 2007 traduit en français à partir du site même du The New York Sun.

Voici son article traduit en français :

Il y a quelques 12 ou 13 années, quand je travaillais à partir d’Israël pour l'hebdomadaire New-Yorkais, le Forward, j’ai écris un article sur Kemal Atatürk, le fondateur de la Turquie laïque moderne, que je soumettais au journal avec une certaine appréhension. Dans ce document, je présentais des preuves sur la probabilité qu'Atatürk ait eu un père juif - ou plus précisément un dönmeh. Les dönmehs étaient une secte juive hérétique constituée, après la conversion à l'Islam au 17ème siècle du prétendant messianique turco-juif Sabbetai Zevi, par ses partisans qui ont continué à croire en lui.

lundi 9 novembre 2015

Quand Atatürk avouait qu'il était juif alors qu'il était saoul

Y-aurait-il une plus grande preuve sur la crypto-judéité d'Atatürk que celle donnée par un journaliste juif travaillant pour un journal juif? Sans doute non. Pourtant, cette preuve est très peu connue du grand public malgré des affirmations édifiantes basées sur un récit autobiographique d'un autre journaliste juif qui a lui même rencontré Mustafa Kemal. Ces affirmations ont été publiées dans les colonnes du journal New-Yorkais The Forward par Hillel Halkin le 28 Janvier 1994. Dans cet article, Halkin reprend un extrait de l'autobiographie de Itamar Ben-Avi qui raconte comment il a rencontré un officier turc (qui deviendra plus tard Atatürk) dans le bar d'un hôtel à Jérusalem lors de la première guerre mondiale. Lors de deux échanges qu'ils auront autour de plusieurs verres d'alcool, Mustafa Kemal va alors lui révéler ses véritables et mystérieuses origines.

Les lignes qui suivent reprennent entièrement l'article de Hillel Halkin traduit (du mieux que possible) en français.

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